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Nid de Pâques au café & praliné

Le nid de Pâques fait partie des pâtisseries traditionnelles servies le jour de Pâques. Ce dessert rappelle une longue tradition qui vient d’Allemagne et dont je vous parlerai un peu plus bas.

Je suis très heureuse de partager ce gâteau avec vous car en plus d’être facile à préparer, il est aussi délicieux ! Et visuellement, il faut bien reconnaître que c’est rigolo comme tout à décorer 😉

De quoi ce nid de Pâques est-il composé ?

Ce nid de Pâques est un gâteau haut composé de 3 étages qui alternent des couches de génoise moelleuse et bien imbibée avec des couches de crème au beurre café-pralin. Le tout est recouvert d’une fine couche de crème au café avec un entourage au pralin. La crème au beurre que je vous propose de réaliser ici est excellente, soyeuse, bien parfumée et elle ne vous laissera pas cette impression de gras et de lourdeur que l’on peut rencontrer avec des crèmes au beurre mal réalisées. C’est la même base qu’on utilise pour faire les mokas. C’est aussi celle que j’utilise dans ma bûche de Noël café-praliné donc c’est une recette que je maîtrise très bien, je vous donne plein de conseils pour que vous la réussissiez ?

Chaque couche de génoise est imbibée avec un sirop à base de sucre, eau et Rhum. C’est très important d’imbiber la génoise dessus et dessous, afin d’apporter de l’humidité et de la fraîcheur à votre gâteau ainsi que du relief à la dégustation. Rien de pire qu’une génoise sèche au milieu d’une crème au beurre… Il ne faut donc pas avoir peur de bien imbiber au pinceau la génoise, sur toute la surface.

Enfin, j’ai utilisé du pralin pour apporter cette petite saveur de noisettes et d’amandes et aussi une note croustillante ! Le pralin et le café, ça fonctionne hyper bien ❤️

Pourquoi réaliser un gâteau maison ?

Si je me suis lancée dans la réalisation d’un nid de Pâques maison, c’est d’abord pour le plaisir de de partager un bon gâteau en famille, ainsi que par amour des bonnes pâtisseries maison, généreuses à souhait. Et puis aussi, je dois vous le dire, par agacement de ce que je peux parfois trouver dans les pâtisseries…

Ces dernières semaines, j’ai eu plusieurs mauvaises expériences en achetant des gâteaux en pâtisserie. Par exemple, des gâteaux préparés avec une crème au beurre qui n’avait aucun goût ainsi qu’un pralin d’enrobage vieux et mou. Sans doute un gâteau surgelé ? Ou trop vieux ? Ou les 2 ? … Je vous passe les détails d’un second gâteau de Pâques au praliné que nous avions commandé dans une autre pâtisserie, avec une crème au beurre beaucoup trop sucrée au point que les grains de sucre croustillaient sous la dent et la crème brûlait la bouche ?. Le lendemain, la génoise était complètement desséchée. Bref, rien n’allait dans ces gâteaux, ce n’était pas bon du tout voire même mauvais et je ne vais pas vous mentir : cela a fini dans la poubelle. Du gâchis. Même si cela ne m’arrive pas souvent, c’est toujours trop et ce genre d’expérience ne fait pas honneur à cette belle profession.

Je fréquente beaucoup les commerces locaux, surtout les commerces de bouche (bouchers, charcutiers, primeurs, pâtissiers, boulangers, crémiers…). Globalement, je me fiche du prix que je paye quand je vais chez les commerçants, mais pourvu que ce soit bien réalisé et bon. Il me semble que c’est la moindre des choses ? Alors au bout d’un moment, quand on est déçu à plusieurs reprises, on passe son chemin, parce qu’il ne faut pas nous prendre pour des pigeons et je pèse mes mots ? Voilà… c’était ma ronchonnerie du jour ?

Bref, c’était un mal pour un bien puisque j’ai finalement décider de réaliser ce joli gâteau et cela me remplit de joie de partager cette recette avec vous car vous pourrez en profiter pleinement ! Avec cette recette, non seulement vous ne serez pas déçu mais vous allez être ravi du résultat, de la dégustation et vous serez même très fier de servir ce joli nid de Pâques maison en dessert ? Je vous assure que vous allez vous régaler avec ce gâteau généreusement parfumé, bien équilibré en sucre. En somme, une délicieuse pâtisserie maison, très simple à réaliser. Et puis si vous voulez consommer local, rien ne vous empêche d’acheter vos ingrédients en circuit court : farine, beurre, oeufs fermiers…

Ce nid de Pâques est-il facile à réaliser ?

Oui bien sûr ! N’hésitez pas ! Je ne suis pas une pâtissière chevronnée (ni une pâtissière tout court d’ailleurs ?) et je n’utilise aucun équipement sophistiqué. Je n’ai même pas de kitchenaid à la maison, juste un bon vieux batteur à main qui va fêter ses 16 ans. Donc vous allez y arriver vous aussi ! La génoise ? Facile ! Grâce à la recette de Mercotte et ses conseils avisés. La crème au beurre ? Hyper simple et inratable avec tous les conseils que je vous donne (je la réussis désormais dans 100% des cas avec un résultat topissime !). Le reste ? Un peu de dressage, de finitions et de décoration, c’est tout…

Pour la décoration, faites-vous PLAISIR, c’est Pâques ! Au cœur de votre nid, vous pouvez mettre une poule en chocolat, un lièvre (ou un lapin, selon les régions). Moi, je vous avoue que je craque pour les petits poussins… Les pioupious ? !! Je trouve qu’ils ont vraiment une drôle de tête avec leurs yeux mal fichus et leur allure un peu bancale mais ils me font beaucoup rire ?

D’où vient la tradition du “Nid de Pâques” ?

En Allemagne, le lièvre de Pâques est une créature imaginaire qui, selon la tradition, distribue ses oeufs le matin de Pâques…

Pendant le carême, on ne consomme ni viande, ni laitage et ni oeuf jusqu’au samedi Saint, veille du jour de Pâques. Mais pendant ce temps, les poules continuent à pondre et on se retrouve en fin de jeûne avec une bonne réserve d’oeufs. En cette période de printemps, les lièvres sont également nombreux dans les prairies. Au XVIIe siècle, les habitants du sud-ouest de l’Empire germanique finissent par associer ces deux symboles de fertilité.

Ainsi, les familles avaient l’habitude de cacher des nids dans le jardin, confectionnés par les enfants, afin que le lièvre puisse y “pondre” ses oeufs le matin de Pâques. Ces nids étaient fabriqués en feuilles, mousse, herbe… Les enfants partent ainsi à la chasse aux oeufs, qui sont soit colorés ou en chocolat. On retrouve aussi cette tradition en Suisse ainsi que dans l’Est de la France et aux Etats Unis où les immigrés allemands ont apporté cette tradition au XVIIIème siècle. Lièvre de Pâques ou lapin de Pâques… tout dépend des régions ! En Alsace par exemple, c’est un lièvre qui apporte les oeufs.

Source : ici et .

Bon à savoir : vous pouvez congeler votre gâteau ! Si vous avez utilisé des ingrédients frais, vous pouvez parfaitement faire congeler votre nid de Pâques. Ce qui est très pratique si vous avez envie de vous faire un peu d’avance sur votre repas. Le mieux, c’est de le congeler avant d’avoir décoré l’intérieur du nid. Vous allez donc jusqu’à l’étape des petits tortillons décoratifs. Je vous conseille tout d’abord de le mettre au froid, il sera plus facile à manipuler pour le congeler (tout dépend de la configuration de votre congélateur). Vous le ferez dégeler au réfrigérateur, puis à t° ambiante. Vous pouvez aussi le faire congeler en parts individuelles. Par exemple, si vous voyez qu’il vous reste pas mal de gâteau après l’avoir servi, remettez-le au froid 1 à 2h, découpez-le en parts, emballez bien chaque part dans du film étirable, le tout dans un sachet hermétique => hop, au congélateur. Ceci fonctionne très bien puisque j’ai testé !

Recette du Nid de Pâques !

Ingrédients (pour 8 personnes) :

Pour un gâteau final de 18cm de diamètre X 7cm de haut (hors partie décorative du dessus). Matériel nécessaire : moule à manqué à charnières (ou cercle) de 18cm X 7cm, thermomètre, poche à douille avec 2 embouts (un de 1cm + un embout plus petit pour les tortillons). Pensez aussi aux décors : pioupiou, oeufs en chocolat, oeufs en sucre… Si votre moule est plus grand, attention, il vous faudra probablement réaliser davantage de crème au beurre. Prenez bien cela en considération.

La génoise (recette de Mercotte) :

  • 4 oeufs de taille moyenne (200g d’oeufs)
  • 125g de farine fluide
  • 100g de sucre fin
  • 25g de sucre vanillé de La Cuisine des Epices
  • 37g de beurre AOP d’excellente qualité
  • + du beurre et de la farine en plus pour le moule

Le sirop d’imbibage :

  • 150g d’eau
  • 75g de sucre
  • Rhum

La crème au beurre :

  • 375g de beurre doux d’excellente qualité (avec une IGP de préférence), sorti au moins une demi journée à l’avance, à t° ambiante
  • 150g de sucre fin en poudre
  • 1 gros oeuf entier + 5 jaunes (=> gardez les blancs pour faire des meringues !)
  • 75g d’eau
  • 2 cuil. à s. d’extrait de café (EXTRAIT de café et non arôme de café, attention… On trouve cela au rayon des aides à la pâtisserie, regardez bien ce qu’il y a écrit sur l’emballage)
  • 300g de pralin

Préparation :

Pour vous organiser, prenez en considération ceci : votre génoise doit refroidir plusieurs heures (elle sera plus facile à découper). Votre gâteau, une fois dressé et entièrement couvert de crème au beurre doit refroidir plusieurs heures (une nuit, c’est l’idéal). Enfin, il vous faudra sortir votre gâteau du froid au moins 1 à 2 heures avant dégustation.

La génoise (plusieurs heures avant l’étape suivante) :

  1. Beurrez votre moule à charnières. Placez-le au froid. Tamisez la farine (tamisez-la bien, une ou deux fois). Préparez les oeufs + les sucres dans un saladier.
  2. Faire fondre doucement le beurre puis réserver.
  3. Préparez un bain marie et placez-y votre saladier (assez grand) contenant vos oeufs + sucre. Tout en mélangeant doucement au fouet à main, faire chauffer jusqu’à 40°C-50°C sans dépasser 50°C. Sortir du bain marie dès que le mélange atteint la t° souhaitée.
  4. Préchauffer votre four à 180°C.
  5. Montez votre mélange oeufs/sucre au batteur (le récipient dans lequel vous allez battre votre mélange doit être assez grand car le mélange va monter) : battre 5 min à grande vitesse puis 15 min à vitesse moyenne. Cela permettra un refroidissement progressif, tout en incorporant un maximum de bulles d’air.
  6. Prélevez 1/5 de votre préparation montée dans un bol à part. Y ajouter le beurre fondu encore tiède, bien mélanger. Réserver.
  7. Incorporer délicatement à la maryse la farine tamisée au reste de la génoise. Faites des gestes délicats en soulevant la masse, délicatement. Puis ajouter ensuite la pâte qui a été mélangée au beurre, délicatement aussi à la maryse. Au cours de ces étapes, il faut faire en sorte que votre pâte à génoise retombe le moins possible.
  8. Fariner votre moule sorti du froid. Le garnir sans attendre et avec précaution, pour éviter à la pâte de retomber. Versez aux 3/4 de la hauteur (normalement, avec les dimensions de moule que je vous ai données, c’est ok !). Tapoter légèrement votre moule et enfourner !
  9. Cuire à 180°C, 20-25 minutes. La coloration doit être blonde – brun clair. Vérifiez la cuisson : faites une légère pression au doigt sur le dessus, la pâte doit être souple et doit reprendre sa forme. Pour être sûr, insérez toujours une aiguille ou la lame d’un couteau fin à bords lisse pour vous assurer de la cuisson à coeur. La lame doit ressortir sèche.
  10. Sortir votre génoise du four. La démouler à chaud à l’envers sur une grille (le dessus de la génoise contre la grille). Quand la génoise est froide la filmer hermétiquement pour éviter son dessèchement. Réserver au réfrigérateur jusqu’au lendemain ou pour quelques heures.

2° La crème au beurre au café-praliné (étapes 2 + 3 à réaliser à la suite, prévoir ensuite un temps de repos d’une nuit) :

  1. Pendant ce temps, préparez votre crème au beurre. Commencez par travailler votre beurre en pommade : surtout, à température ambiante, jusqu’à ce que sa texture soit très souple.
  2. Dans une casserole, porter à ébullition (à feu doux-moyen) l’eau + le sucre => jusqu’à 115-120°C.
  3. Pendant ce temps : dans le bol d’un robot (ou avec un batteur électrique), battre à petite vitesse les oeufs jusqu’à ce que le mélange mousse. Lorsque votre sirop est à 115-120°C, versez le lentement en filet le long de la paroi de votre bol, sans cesser de fouetter, à vitesse moyenne. Continuer de fouetter jusqu’à ce que le mélange blanchisse et tiédisse, jusqu’à une texture dite en “ruban” . Enfin, incorporer petit à petit le beurre pommade, en battant jusqu’à ce que chaque morceau soit intégré au mélange avant d’ajouter un autre morceaux. Vous verrez, il vous faudra parfois réajuster la vitesse de votre batteur, ce sera à vous de voir. SI vous voyez que le beurre commence à avoir du mal à s’incorporer, fouettez fort pour éviter que cela ne tranche. A la fin, votre crème doit être lisse et homogène : l’émulsion est réussie 🙂 Quand je dis “lisse” je m’entends : si votre beurre a légèrement refroidi pendant la préparation et que vous avez fouetté fort, il va suivre les mouvements de votre fouet, mais sa texture doit être impeccablement lisse et homogène. A présent, ajoutez l’extrait de café, bien mélanger, soit en donnant un petit coup de fouet ou avec une maryse. Si vous rencontrez des difficultés dans la réalisation de votre crème au beurre, lisez mes conseils au-dessous de la recette.
  4. Laissez votre crème au beurre à t° ambiante car vous allez l’utiliser tout de suite pour réaliser les étapes suivantes. Je vous déconseille de la mettre en froid en attendant car elle sera bien moins facile à travailler.

3° Montage de votre nid de Pâques (après cette étape, prévoir un temps de prise au froid d’une nuit) :

  1. Préparez votre sirop d’imbibage : dans une casserole, faites réduire à gros bouillons 5 bonnes minutes votre mélange eau + sucre. Sortir du feu, ajoutez un peu de Rhum et laissez refroidir.
  2. Sortez votre génoise du froid. Divisez-la en 3 disques égaux.

  3. Prélevez la moitié de votre crème au beurre. Laissez l’autre moitié à t° ambiante. Nous l’utiliserons pour les finitions. Ajouter la moitié du pralin (150g) dans la crème au beurre que vous venez de prélever. Bien mélanger. Mettre votre crème dans une poche à douille avec un embout assez large.
  4. Je vous conseille de faire le montage de votre gâteau sur une plaque couverte de papier cuisson, que vous placerez ensuite au réfrigérateur, ce sera plus facile. Vous déplacerez votre nid sur un plat de service lorsqu’il sera complètement pris et froid, le lendemain.
  5. Placez votre premier disque de génoise. Punchez votre génoise (=imbibez avec un pinceau) dessous et dessus avec votre sirop d’imbibage. Placez-la sur votre papier cuisson pour dresser votre nid de Pâques (face brune => dessous…). Pochez une couche de crème au beurre sur votre disque, de façon uniforme, en commençant par le centre, réalisez un mouvement comme un escargot => jusque vers les bords. Allez bien jusqu’aux bords de votre génoise. Lissez à la spatule pour que le dessus soit bien lisse et régulier sur toute la surface. En gros, il faut répartir la moitié de votre crème au pralin sur cette couche.
  6. Réalisez votre 2ème étage en plaçant votre 2ème disque imbibé (imbibez bien chaque face, dessus et dessous) sur votre couche de crème. Renouvelez l’opération ci-dessus en pochant le reste de crème au pralin. Lissez etc.
  7. Enfin, positionnez votre 3ème et dernier disque (face brune => vers le dessus…), préalablement imbibé dessus et dessous. Pressez légèrement votre nid de Pâques pour que l’ensemble soit bien serré.
  8. Prenez votre crème au beurre restante (sans pralin) : prélevez 1/3 de cette crème qui vous servira tout à l’heure pour les tortillons décoratifs. Avec les 2/3 restant, à l’aide d’une spatule, recouvrez l’ensemble de votre gâteau. Lissez bien les côtés et le dessus.
  9. Enfin, recouvrir généreusement de pralin le pourtour de votre nid de Pâques.
  10. Placez la crème réservée dans une poche à douille avec un embout adéquat pour faire des tortillons décoratifs pour le nid.
  11. Placez votre gâteau au froid, toute une nuit (ou au moins une grosse demi-journée).
  12. Quand il sera bien froid, il va durcir, vous pourrez ainsi facilement le déplacer sur un joli plat de service. Puis, décorez votre nid de Pâques à votre guise et… surtout, amusez-vous bien 😉
  13. Ce gâteau se déguste à t° ambiante, sorti du froid au moins 1 heure à l’avance. C’est là que votre crème au beurre va exprimer tous ses parfums. Une crème au beurre froide, ce n’est jamais terrible…

Je vous souhaite de joyeuses fêtes de Pâques ????? et pâtissez bien !

Conseils utiles à lire, questions que vous pouvez vous poser

  • Je viens de réaliser ma crème au beurre et elle me semble un peu liquide, est-ce normal ? Oui tout à fait. Le beurre travaillé est très souple. Vous verrez qu’après un passage au frais, votre crème au beurre prendra une consistance ferme. Si votre crème ne redevient pas ferme, ce n’est pas normal (choix du beurre ?).
  • Ma crème au beurre est devenu granuleuse, que dois-je faire ? Pas de panique, cela arrive. Dans ce cas, réchauffez très doucement votre crème au beurre dans un bain marie très doux (ou bien en réchauffant votre cuve à l’aide d’un chalumeau de cuisine), tout en fouettant bien à l’aide d’un batteur. Après quelques secondes de chauffe, sortir du bain marie et fouettez très fort, normalement, votre crème devrait redevenir lisse. Sinon, réchauffez un tout petit peu à nouveau. Continuez de fouetter et normalement, cela devrait être bon. Dans tous les cas, votre beurre ne doit jamais fondre, bien entendu.
  • Je viens de sortir ma crème au beurre du froid, il y a des petits grains dedans quand je la travaille… Oui, c’est possible, dans ce cas, prenez un batteur à main et fouettez à vitesse modérée votre crème, assez vigoureusement. Normalement, elle devrait reprendre sa texture lisse.
  • Peut-on faire la crème au beurre avec un autre beurre : allégé / mou / ou salé par exemple ? Non, il faut utiliser un beurre doux gastronomique.


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Nid de Pâques au café & praliné
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